Purpleart commença sont récit, Icedom y porta une oreille discrète :
- C'était un dimanche après midi, le temps était triste et pluvieux. Je m'étais abritée sous un arbre et observais une dizaine de pégase s'amuser dans les nuages, je les enviais plus que tout, cette agilités à éviter les gouttes et les nuages, la liberté à porter de sabot. Moi j'étais bloqué sur le sol, à me prendre toute l'eau, condamné a surveillé mon chien.
Lui en revanche cela ne semblais gère le troublé, il gambadait, sa balade journalière ce passais comme à son habitude chassant des ombres insaisissable et aboyant après quelques oiseaux. Le mauvais temps n'avait pas d’impacts sur sa gaîté, c'était sa promenade après tout, donc tout était fun.
De mon coté je traînais le pas, m’arrêtant d'arbre en arbre pour quelque seconde de répits, tout les poneys s'était abrités du temps, moi à cette époque je doit dire que le temps ne changeait rien au peu de valeur que j'accordais à ma personne, ce n'était pas une pluie qui me rendrais plus fade de toute manière.
Ma crinière dégoulinais, plaquée sur mes oreilles, transforment mon jolie crains violet-bordeau en masse informe couleur prune écrasé. Je me redirigeais vers ma petite maison. le parc que je fréquentais, et fréquente toujours, n'est vraiment pas loin, mais mon allure me prenais un temps considérable. Frimousse, mon chien ne me suivais pas, il m’indiquait plutôt la route, et comme si je la connaissais pas il faisait des allez retour a partir de moi jusqu'au bout de la rue, l'aire de dire « c'est par la », il semblais infatigable.
D'un coup, Frimousse stoppa net, attirant mon attention instantanément, il faut dire que question bêtise il n'est pas le dernier impliqué, entachant la plupart du temps mon honneur. Visiblement un licorne emménageais sur le trottoir d'en face, et mon chien ce focalisais sur une petite boite sur le bord du trottoir. Une boite a chat.
Le sang de frimousse ne du faire qu'un tour, et il s'était élancé à toute allure. Il passât comme une fusée devant une carriole, faisant ce redresser l'étalon qui tirait la voiture. La peur m’envahis, à mon tour je m'était mise à sa poursuite, bousculant moi aussi le pauvre tireur qui me lançant un regard noir accompagner des cris strident de sa passagère.
J'avais chopper mon chien par le cou, malgré sa petite taille sa force est plutôt disproportionner et je du faire trois pas en arrière pour l’empêcher de déchiqueter la boite qui protégeais le chaton. Le splendide licorne sortis en trombe avertie des aboiements de frimousse. Sa robe bleu ciel avait les reflets de la pluie, ses yeux d'un bleu profond bien qu'en colère avaient un air apaisant et doux, sa crinière courte d'un marron sombre, presque noir avec la pluie incessante. Sont allure fière de lui et empresser me déboîtât la mâchoire d’admiration, lâchât mon chien qui ne cherchât pas d'autorisation pour redoubler d'attaque sur la boite du chat.
A son tour le licorne choppa mon chien par son collier.
- nonm mais attenshion. M'avait-il crié.
J'avais pouffé un petit rire à sa phrase presque incompréhensible les poils de mon chien coincer entre ses dents, mais je me ressaisit vite en voyant ses yeux sevrèrent et sérieux.
Javais baisser la tête de honte et m'était excuser.
Je pris mon chien de sa bouche. Nos museau ce frôlèrent déclenchant une petite décharge, elle m'avais parcourue extrêmement vite mais je pu voire la même gène chez le licorne, je me rappelle être rester des secondes interminable bloquer à le regarder dans les yeux, dans un silence gênant , ne me rendant même pas compte que la pluie avait cesser. Et pourtant une dernière grosse goutte froide tombant directement sur mon arrière train, elle me fit bondir et partir en trombe.
Ne lâchant pas mon chien j'avais franchi les deux rue qui me séparais de ma maison en moins d'une minute, m'enfermant à double tour et me collant à la porte. Je me souvient avoir pensée au ridicule de ma réaction ce moment de solitude face a lui, non mais partir en courant quel honte. Il avait de si beau yeux et sa voie bien que calfeutrée par la prise de mon chien raisonnait encore en moi. Et pour finir cette châtaigne électrique qui m'avais bloquée pendant je ne sais pas combien de temps. Il avait du me prendre pour une folle.
Je devais absolument me faire pardonner ou le revoir je ne sais plus lequel était le plus important ou le plus motivant. Il me fallait un prétexte pour retourner chez lui, c'était un nouveau voisin je me suis dit que je pouvais lui faire un accueille chaleureux dans le quartier avec des petits gâteaux. Je m'était donc mise dès la seconde suivante a faire des cookies de bienvenue, je n’étais pas la meilleure de cuisinière certes, mais on peut dire que je me défendais.
Délaissant mon chien, à qui j'avais raccourcie la promenade, je me rappelle avoir galoper dans tout les sens, pour peu que je puisse galoper entre mes meubles. Et après un bon moment j'avais de jolie petite portion de pâte à doré au four. En revanche j'en avais mis partout, farine, glaçage, sucre et déco arc en ciel, traînaient partout sur le sol et le plans de travail. Je m'était donc mis a la suite a faire du ménage.
Quand tout fut prés et que je voulu ressortir pour apporter mes petite confection je me rendis compte de l'heure tardive la lune montais déjà dans le ciel, j'avais passée mon après midi a faire des cookies. Dépité j'en était même tombé sur les fesses regardant cette lune qui me narguait. La fatigue commençais elle aussi a me gagner, il avait fallu que j'attende pour revoir ce bel inconnu.
- C'était un dimanche après midi, le temps était triste et pluvieux. Je m'étais abritée sous un arbre et observais une dizaine de pégase s'amuser dans les nuages, je les enviais plus que tout, cette agilités à éviter les gouttes et les nuages, la liberté à porter de sabot. Moi j'étais bloqué sur le sol, à me prendre toute l'eau, condamné a surveillé mon chien.
Lui en revanche cela ne semblais gère le troublé, il gambadait, sa balade journalière ce passais comme à son habitude chassant des ombres insaisissable et aboyant après quelques oiseaux. Le mauvais temps n'avait pas d’impacts sur sa gaîté, c'était sa promenade après tout, donc tout était fun.
De mon coté je traînais le pas, m’arrêtant d'arbre en arbre pour quelque seconde de répits, tout les poneys s'était abrités du temps, moi à cette époque je doit dire que le temps ne changeait rien au peu de valeur que j'accordais à ma personne, ce n'était pas une pluie qui me rendrais plus fade de toute manière.
Ma crinière dégoulinais, plaquée sur mes oreilles, transforment mon jolie crains violet-bordeau en masse informe couleur prune écrasé. Je me redirigeais vers ma petite maison. le parc que je fréquentais, et fréquente toujours, n'est vraiment pas loin, mais mon allure me prenais un temps considérable. Frimousse, mon chien ne me suivais pas, il m’indiquait plutôt la route, et comme si je la connaissais pas il faisait des allez retour a partir de moi jusqu'au bout de la rue, l'aire de dire « c'est par la », il semblais infatigable.
D'un coup, Frimousse stoppa net, attirant mon attention instantanément, il faut dire que question bêtise il n'est pas le dernier impliqué, entachant la plupart du temps mon honneur. Visiblement un licorne emménageais sur le trottoir d'en face, et mon chien ce focalisais sur une petite boite sur le bord du trottoir. Une boite a chat.
Le sang de frimousse ne du faire qu'un tour, et il s'était élancé à toute allure. Il passât comme une fusée devant une carriole, faisant ce redresser l'étalon qui tirait la voiture. La peur m’envahis, à mon tour je m'était mise à sa poursuite, bousculant moi aussi le pauvre tireur qui me lançant un regard noir accompagner des cris strident de sa passagère.
J'avais chopper mon chien par le cou, malgré sa petite taille sa force est plutôt disproportionner et je du faire trois pas en arrière pour l’empêcher de déchiqueter la boite qui protégeais le chaton. Le splendide licorne sortis en trombe avertie des aboiements de frimousse. Sa robe bleu ciel avait les reflets de la pluie, ses yeux d'un bleu profond bien qu'en colère avaient un air apaisant et doux, sa crinière courte d'un marron sombre, presque noir avec la pluie incessante. Sont allure fière de lui et empresser me déboîtât la mâchoire d’admiration, lâchât mon chien qui ne cherchât pas d'autorisation pour redoubler d'attaque sur la boite du chat.
A son tour le licorne choppa mon chien par son collier.
- nonm mais attenshion. M'avait-il crié.
J'avais pouffé un petit rire à sa phrase presque incompréhensible les poils de mon chien coincer entre ses dents, mais je me ressaisit vite en voyant ses yeux sevrèrent et sérieux.
Javais baisser la tête de honte et m'était excuser.
Je pris mon chien de sa bouche. Nos museau ce frôlèrent déclenchant une petite décharge, elle m'avais parcourue extrêmement vite mais je pu voire la même gène chez le licorne, je me rappelle être rester des secondes interminable bloquer à le regarder dans les yeux, dans un silence gênant , ne me rendant même pas compte que la pluie avait cesser. Et pourtant une dernière grosse goutte froide tombant directement sur mon arrière train, elle me fit bondir et partir en trombe.
Ne lâchant pas mon chien j'avais franchi les deux rue qui me séparais de ma maison en moins d'une minute, m'enfermant à double tour et me collant à la porte. Je me souvient avoir pensée au ridicule de ma réaction ce moment de solitude face a lui, non mais partir en courant quel honte. Il avait de si beau yeux et sa voie bien que calfeutrée par la prise de mon chien raisonnait encore en moi. Et pour finir cette châtaigne électrique qui m'avais bloquée pendant je ne sais pas combien de temps. Il avait du me prendre pour une folle.
Je devais absolument me faire pardonner ou le revoir je ne sais plus lequel était le plus important ou le plus motivant. Il me fallait un prétexte pour retourner chez lui, c'était un nouveau voisin je me suis dit que je pouvais lui faire un accueille chaleureux dans le quartier avec des petits gâteaux. Je m'était donc mise dès la seconde suivante a faire des cookies de bienvenue, je n’étais pas la meilleure de cuisinière certes, mais on peut dire que je me défendais.
Délaissant mon chien, à qui j'avais raccourcie la promenade, je me rappelle avoir galoper dans tout les sens, pour peu que je puisse galoper entre mes meubles. Et après un bon moment j'avais de jolie petite portion de pâte à doré au four. En revanche j'en avais mis partout, farine, glaçage, sucre et déco arc en ciel, traînaient partout sur le sol et le plans de travail. Je m'était donc mis a la suite a faire du ménage.
Quand tout fut prés et que je voulu ressortir pour apporter mes petite confection je me rendis compte de l'heure tardive la lune montais déjà dans le ciel, j'avais passée mon après midi a faire des cookies. Dépité j'en était même tombé sur les fesses regardant cette lune qui me narguait. La fatigue commençais elle aussi a me gagner, il avait fallu que j'attende pour revoir ce bel inconnu.