Poète amateur, je me permet de poster un de mes premiers poéme qui a pour titre "Sombra".
Toi roi déchu
Toi roi perdu
Tu reposes dans nos esprits pour l’éternité
Mais ne compte pas sur nous pour te garder aimé
Car ton règne ne fut que pleurs et monstruosité
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Tu avais soif de pouvoir et de contrôle
Ce qui t’a permis de monter sur le trône
Pour assouvir ta faim et montrer aux autres
Ton vrai visage, la folie entre autres
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Dans un monde où la magie est divine
Toi tu t’en sers pour commettre bien des crimes
Ton peuple souffre, mais tu n’en as que faire
Car la pitié, l’amour et la compassion
T'ont quitté, toi le roi démon
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Ta garde armée de lances et d’épées
Te protège et pourtant à bien regarder
Leurs visages sans expressions et sans vie
Ne sont plus que pantins au service de la folie
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La population vit sans entrain et sans passion
Enchainée, maltraitée et gardée sous pression
Leurs visages eux ne reflètent plus rien
Car leur destin pour eux est sans lendemains
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Récolter des cristaux et bien des richesses
Se fait à coups de fouet prodiguant le stress
Poulains, étalons, juments, personne n’est épargné
Lorsqu’il s’agit de servir Sa Majesté
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Poneys de cristal vous n’étiez pas de taille
L'amour et le bonheur se lient dans vos âmes
Toute résistance est pour vous nue
Qui pourrait venir et sauver cette cause perdue ?
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Pendant que votre roi lui se délecte de vos travaux
Vous, vous traînez un lourd fardeau
Les chaines et les boulets sont vos seules possessions
Qui font perdre votre force et votre raison
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Certains ont osé se soulever
Mais pour eux le destin est déjà tracé
Décapités et étendus sur la place publique
Par les dieux ! Qui pourra nous sauver de cette brute tyrannique ?!
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Les jours sombres passent sans discontinuer
Les maisons, les rues et le château, cette monstruosité
De noirceur, de peur et de piques acérés
Voilà de quoi il est constitué
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De ténèbres et d’éclairs voilà pour eux
Ayant remplacé la Lune, le Soleil et le ciel bleu
Personne ne peut le pourfendre et pourtant
Un tonnerre de lumière, est-ce l’instant ?
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Un trou béant laissant passer
Deux alicornes toutes d’armures habillées
Regardant autour d’elles le désastre
De ce peuple à l’agonie, par tous les astres !
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Se fixant maintenant vers le château
Cherchant la cause de ce fléau
Sur une terrasse ce misérable est vu
Le roi sombre, lui, déjà d’armure est vêtu
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Il les regarde en souriant
Seules deux juments pour un immense combattant ?
Lâchant un rire à glacer le sang
Que peuvent-elles espérer faire à ce dieu vivant ?
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Les juments s’approchent, le combat les attend
Le peuple rivé sur ces deux prétendants
Le roi gloussant, lui et son armée armes levées
Dans cette journée, tout peut changer
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Que commence le combat pour la liberté
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https://mlpfictions.com/story/118/poemes-d-equestria
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