[Sombre][Romance][Triste][One-shot] Éternité et Apaisement

Postez-ici vos fictions inspirées de My Little Pony: Friendship is Magic.
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Sephiro92
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[Sombre][Romance][Triste][One-shot] Éternité et Apaisement

Message par Sephiro92 »

Bonjour à vous les bronies, je poste ici même l'histoire de mon OC qui a pour nom Eskallion.
Je tien à prévenir que je ne suis pas spécialement un écrivain en herbe et que cette histoire est ma première fiction au seins de la communauté, malgré de mainte relecture il est possible que des fautes s'y trouve, merci de votre compréhension, si cela a pu vous plaires je pourrais continué à en faire (je ne fais pas que des histoire triste :discord: ), sur ceux bonne lecture.


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[UPDATE]

Extrait d'un ancien livre :

"Dans tout Equestria le mot divinité est généralement associé aux princesses de Canterlot:
Celestia, la divinité du Soleil et Luna, la divinité de la Lune.
Mais d'autres divinités ont existé, certaines ont été oublié et d'autres ont préférer êtres oublié.
Ce fut le cas d'une divinité en particulier, celle de "L'Apaisement".
Apaisement, ce mot est bien trop faible pour définir cette divinité, car son rôle n'est pas d'apaiser à proprement parler, mais plutôt d’entraîner l'âme des vivants en les emmenant vers la mort.
Il est le crépuscule de la destiné, les ténèbres qui dévore les dernières lueurs de la vie.
On dit que cette divinité vaque dans le monde des vivants depuis le début des temps à la recherche de son propre apaisement.
Certains disent encore que ceux qui l'ont rencontré son revenue comme vide, dépossédé de leurs êtres..."

Ah ! Je ne peux plus lire une seul ligne de ce navet...
Des foutaises ! Des calomnies ! Comment les vivants peuvent t'ils lire ce genre de livres, comment peuvent t'ils racontés des choses qu'ils ne savent pas ?! Premièrement je ne vole pas l'âme des vivants, seulement celle des mourants à qui j'abrège les souffrances avant l'inévitable. Deuxièmement, je ne "dévore" l'âme des vivants, moi personnellement je préfère les pommes. Troisièmement, je ne "vaque pas dans le monde des vivants", je suis actuellement enfermé dans ma montagne depuis... Depuis ? Oh peut importe !
Si ces imbéciles connaissaient mon histoire ils ne me verraient pas comme une divinité, je ne suis pas une divinité ! Une divinité à la chance d'être ce qu'elle est ! Moi ?! Je suis le jouet de la vie, son martyr ! Elle m'a pris tout ce que j'avais et même ce que je n'avais pas ! J'aurais mille fois préférés mourir plutôt qu'êtres le monstre que je suis aujourd'hui !
Je n’ai pas toujours été comme ça... Mais le destin en a décidé autrement.
Oh ! Je vois à votre regard que vous me prenez pour un monstre vous aussi...
Vous n'avez pas tout à fais tord, mais laisser moi vous racontez mon histoire ensuite juger moi comme bon vous sembles.
Commençons par le commencement, mon nom est Eskallion, étant une jeune licorne male j'étais orphelin, j'avais atterri à l'orphelinat de Detrot, situé dans une grande cité jonché de pavé bordé par de nombreuse maison dans le royaume d'Ungula, l'orphelinat où j'avais été recueilli avait pour nom "Les Roses Blanches", j'aimais beaucoup l'orphelinat mais je n'avais pas réellement la sympathie de mes pairs de l'orphelinat, cela était notamment dût à mon apparence, d'une fourrure grise foncé virant plus sur le noir qu'autre chose, ma crinière d'un blanc pâle et de grands yeux rouge, j'étais la tête de turc de mon école, les autres m'insultaient d'être bizarre et même parfois de monstre, cette crainte qu'ils avaient de moi ne les empêchaient pas de m'agresser physiquement.
Même mes professeurs me lançaient des regards remplis de dégoûts et de mépris, je me rappelle encore de Mme.Quartz, cette vielle carne me faisait faire les corvées tous les soirs !
Chaque soir passant je ne pouvais m'empêcher d'observer l'immensité du ciel constellé d'étoiles en enviant leurs beautés et leurs éclats qui faisait que peut importes où l'on se situait elles seraient toujours là.
Le temps passait mais ce fut de pire en pire, ayant grandit dans la tyrannie de mes camarades à l'école cela ne s'arrangea pas adulte.
"Bon à rien", "catastrophe ambulante", qu'ils me disaient... Chacun de mes boulots finissais comme ca, mais je persévérais, peut être que ma destiné était au bout du chemin, j'avais foi en mon avenir, même si ce n'étais pas gagner.
Par la suite tout ce que j'entreprenais dans la vie était un échec cuisant, mais je ne baissais pas les bras pour autant.
Et un fameux jour, "ce" fameux jour qui aura été l'élément déclencheur de ma vie.
J'avais été embauché pour un job de livreur, je devais livrer des cartons remplis de tissus de toutes sortes à un magasin de stylisme assez réputé à Detrot
Sur le trajet une bande de loubards bloqua mon convois, je reconnu leurs visages, ils s'agissaient des brutes qui me m'agressait lorsque j'étais plus jeune.
Ils m'avaient attrapé et immobilisé, pendant que ses ordures me volais les marchandises que je devais livrer les autres me tabassaient, tout ca devant les yeux des passants...
Pourquoi personne ne faisais rien ?! Ils me regardaient tous comme une bête de foire que l'on passait à tabac.
Puis elle est arrivée, "Lâchez-le ! Bande d'ordures" criait t-elle, je ne savais pas qui elle était mais la bande de loubards s'enfuit à toutes allures.
J'étais écroulé de douleur mais quand j'avais relevé la tête pour voir la seul personne qui m'avait secouru et quand je l'ai vu, je n'en croyais pas mes yeux, elle était si belle, une magnifique licorne, son visage était celui d'un ange tombé du ciel, sa fourrure d'un blanc éclatant, sa crinière étaient longue et d'une couleur argenté puis ses yeux pourpres était aussi magnifique que des améthystes polie.
"Est-ce que ça va ?" me disais t-elle, mais subjugué par sa beauté je n'avais pas pu répondre et quand soudain j'avais repris mes esprits je m'étais enfui sans même lui dire merci le visage rougi d'amour.
Était-ce de la timidité ou de la lâcheté aujourd'hui même je ne le sais pas...
Bien évidement en revenant bredouille à mon travail, je m'étais fais viré même après avoir expliqué ce qui c’était passé.
Encore dans une impasse, mais j'avais l'habitude, ce genre d'accident m'arrivais souvent, le problème de mon loyer allait néanmoins devenir un réel souci mais bon je m'en étais toujours sortie jusque là.
Je me souviens d'avoir eu honte de mon comportement envers ma bienfaitrice, m’être enfui sans même la remercier, je me sentais petit de cet acte, surtout que c'était bien la première fois que quelqu'un se souciait de ce qui pouvait m'arrivé.
Je m'étais mis en quête de la retrouver pour la remercier et me faire pardonner de mon comportement, mais comment la retrouver je ne connaissais pas son nom...
J'étais donc parti la chercher en ville malgré la population abondante je m'obstinais à vouloir la retrouver.
Mon idée était de partir pour le centre-ville afin de potentiellement décrire l'ange qui m'étais venu en aide, après une trentaine de minutes les recherches n'aboutissaient à rien et la foule de poneys commençait à devenir oppressante ils se déplaçaient dans tous les sens se bousculant les uns les autres tandis que je me trouvait au milieu je fus pris d'un malaise la seul chose auquel je pensais était de m'échapper de cet essaim, je nageais dans cette foule quand j'aperçu une sortie, me precipitant vers celle-ci je m'étais rendu compte que je me situé en plein milieu d'un route de trafic de charrette et avant même que je ne m'en rende compte tout étais devenue noir.
Quand je suis revenu à moi j'étais dans une chambre d'hôpital, une infirmière était derrière un rideau je voyais son ombre et celle de la piqûre qu'elle préparait, cela me fis froid dans le dos mon imagination me faisais voir sa comme l'ombre d'un être machiavélique qui n'avais qu'une envie celle de me planté cette aiguille.
Pensant qu'elle était distraite je me faufilais en dehors de mon lit pour m'éclipser discrètement.
"Vous n'êtes pas en état de sortir" m'a t-elle dit sans même ce retourner, quand je me suis retourné elle est sortie de derrière le rideau, c’était "elle" celle qui m'avais sauvé des brutes de l'autre fois.
"Pourquoi vous vous êtes enfui la dernière fois ?" m'a t-elle dit en me ramenant sur mon lit d'hôpital avant de m'enfoncer son aiguille dans le membre antérieur, "Je... enfin... Je..." lui disais-je rouge comme une pivoine, "Les gens de la ville ne sont que des égocentriques, ils vous ont regardez vous faire frapper sans broncher !" répliquât t'elle d'un ton colérique, "Ne vous inquiétez pas pour moi j'ai l'habitude..." lui rétorquais-je, "L'habitude ? Tu es un drôle de numéro toi. Oh ! Mais quel malpolie je fais, je ne me suis même pas présenté, je m'appelle Blanche.".
Suite à ce début de conversation nous avions continué de parler ensemble toute la journée, je lui avais raconté ma fastidieuse enfance, elle me confia par ailleurs qu'elle aussi n'avait pas eu de chance dans la vie, elle est née d'une famille riche mais c'était enfui de ce luxe qu'elle ne pouvait plus supporter et est partit construire sa vie par ses propre moyen, elle avait été virer de pas mal de travail, tout comme moi mais pas pour les même raisons, elle pouvais avoir un tempérament colérique voir cataclysmique quand elle s'énervait.
Nous nous comprenions tellement, plus je la regardais plus mon cœur battait la chamade, mais je ne pouvais pas lui balancé "Je t'aime" comme ça.
Je passais tous les soirs à l'hôpital pour la voir, cela m'emplissais d'un bonheur immense.
Le destin avait enfin décidé de me sourire, en plus d'avoir rencontré Blanche, mon ancien employeur me réembaucha.
Plusieurs mois passer, je venais voir Blanche quotidiennement, nous allions souvent boire du cidre ensemble sur une colline en dehors de la cité, elle me disait que j'étais drôle a voir après avoir bu.
Elle habitait un peu plus à l'Est de l'hôpital dans une petite maisonnette, Blanche aimait cuisiner, même si elle n'était pas très bonne en cuisine je faisais l'effort de manger ses plats, bouillie de laitue à la marguerite, tomate farcie au gemme, à un moment donné je fus obligé de refuser de manger ses plats de crainte de tomber malade, elle me fit la tête pendant plus d'une heure, bizarrement je la trouvait encore plus mignonne quand elle boudait.
Je passais le plus clair de mon temps avec elle, plus nous nous voyions, plus je sentais que l'ont ce rapprochaient.
Mais un jour, lors d'une de mes tournés, mais elle n'était plus à l'hôpital.
Je commençais à paniquer, elle lui était arrivée quelque chose, où était-elle ? Personne à l'hôpital ne m'avait répondu.
M'imaginant le pire je m'étais précipité à son domicile, me disant que je pouvais perdre la seul personne qui m'était chers.
"A louer", voilà la pancarte que j'avais aperçue devant chez elle.
Elle n'était plus là et pour rajouter encore plus de dramatisme il ce mis à pleuvoir.
Je rentrais chez moi sous une pluie diluvienne, me morfondant de ne pas l'avoir trouvé, quand je la vis en sanglot devant le pas de ma porte.
Je m'étais empressé de la faire entré pour qu'elle ne prenne pas froid.
Après l'avoir installé, couvert et préparer une boisson chaude je lui avais demandé ce qu'il a bien pu lui arrivé.
Elle me raconta en sanglotant qu'un des patients de l'hôpital étais l'une des brutes qui m'avais agressé auparavant, il l'aurait insulté ouvertement et l'aurait poussé à bout, suite à ça elle l'avait mit dans un état tel qu'il est repartie avec plus de blessures qu'à l'arrivé.
A la suite de ça, elle fut virer de son travail et ayant quelque loyer en retard elle fut expulsé de son domicile.
Je ne pouvais pas la laisser comme sa, je lui avais proposé de vivre avec moi et c'est là qu'elle aussi m'a avoué qu'elle m'aimait, ce fut un choc je restais paralysé de joie puis les seuls mots qui sortir de ma bouche ont été : "Moi aussi je t'aime".
Suite à cette tragédie à l'eau de rose, nous avions décidé de vivre ensemble et de commencer une nouvelle vie en quittant la cité pour nous installer dans un petit village du nom d'Oglomane, nous y avions ouvert une boutique qui proposais tout type de service au habitant, notre couple étais inséparable, la simple idée de ne pas être en sa présence m'étais insupportable.
Nos affaires marchaient à merveille, tout les villageois étais sympathique ce qui nous changea, son agressivité intempestive ne faisait plus de ravage quant à moi j'étais apprécié de tous, nous vivions heureux et prospère.
Je me souviens encore de la tête que j'avais fais lorsqu'elle me demandât si je voulais avoir des enfants avec elle, avoir des enfants ne me dérangeais pas, mais étais t’ont réellement préparé à devenir parent ?

Je vous avouerais que jusque là mon bonheur connaissait son paroxysme, mais toutes les bonnes choses ont une fin... Celle là fut tragique...
Ce jour là j'avais décidé de partir très tôt pour lui acheter un bouquet de fleur et lui annoncé que j'étais d'accord pour fondé une famille avec elle.
A mon retour je la vue, écroulé par terre, je m'étais précipité pour la remettre dans son lit, elle avait une fièvre infernal.
Tout les médecins du village ne purent la soigner, suite au diagnostique, Blanche avait une maladie incurable... Une maladie mortelle !
Je restais à son chevet jour et nuit sans m'accorder une once de sommeil, la rassurant du mieux que je pouvais, même si en réalité j'essayais de me rassurer moi même.
Jour après jour son état empirais, je la voyais souffrir de plus en plus au fil du temps, impuissant, incapable de pouvoir l'aidée je pleurais toutes les larmes de mon corps.
Puis un jour elle me dit : "Achève-moi. Par pitié achève-moi, je n'en peux plus, cette douleur, cette fièvre, je t'en supplie libère moi de cette maladie qui me ronge depuis déjà trop longtemps."
Mes larmes coulais continuellement tel un fleuve, elle me demandait de l'aidé, de la libérer, mais cela étais au dessus de mes forces.
Pourquoi la vie me prenait tout ce que j'avais, pourquoi s’acharnait t'elle sur moi ! Puis une voix résonna dans ma tête : "Si tu l'aime vraiment aide la, libère la de cette douleur, si tu n'en n'as pas la force je peux t'aider, je peux te donné ce qui lui permettra de partir sans souffrir, de tes larmes et de ton désespoir je forgerais ta destiné..."
Après ca, une faux avec une lame rouge sang sortie de la flaque produite par mes larmes, je pris cette faux, je la brandis dans un mouvement de désespoir et au moment ou je l'abattis Blanche me dit dans un dernier soupir : "Merci, mon amour...".
Elle était partie, son visage était clair et apaisé, la faux n'avais laissé aucune cicatrice, elle ne tranchait pas le corps mais seulement le fil de la vie.
Quelque seconde après je me tordais de douleur, mon flanc me brûlais, une marque clair ressemblant à une étoile à six branches qui aurait été érodé se creusait dans ma chair comme si l'on me la marquer au fer rouge, la douleur était intenable, je me roulais par terre comme si mon corps prenait feu, mon dos me faisait souffrir le martyr comme si quelque chose voulait si extirpé, la douleur était tel que j'ai cru mourir et je m’évanouis en jetant un dernier regard vers Blanche.

Ah ce jour là j'aurais aimé que ca ce finisse simplement de cette manière, la vie est remplie de surprise mais la mort en est tout autant.

Je m'étais réveillé quelque heure plus tard, j'avais à peine repris conscience que je sentais quelque chose de changer en moi, des ailes décrépit m'avais poussé dans le dos, qu'étais-je devenu que m'était t'il arriver ?
Plusieurs heures plus tard tout le village appris la nouvelle de la mort de Blanche.
Une cérémonie funéraire était prévue en son honneur, quand à moi je me morfondais en me noyant dans l'alcool en me disant que si je buvais assez j'allais me réveillé de ce cauchemar, je n'étais pas venu aux obsèques, je ne pouvais pas me résoudre à regarder la vérité en face, Blanche n'étais plus et sans elle je n'étais plus rien, les villageois tentèrent me consoler mais je repoussais toutes aides de manière violentes, je ne sortais plus de chez moi, mon apparence faisais peur au autre et il finirent par me craindre.
Puis un matin pris de désespoir, je m'étais mis en tête de rejoindre mon aimé dans la mort, mais même sa je n'avais réussi, lorsque je tentais de me pendre la corde ce cassait, j'ingérais une forte dose de médicament mais cela ne me faisais rien, je n'étais qu'un bon à rien, un raté, un lâche !
Dans un élan de colère j'avais ravagé la maison, quand soudain je vis un couteau tombé au sol. "Aurais-je le courage de le faire" me murmurais-je, pour moi cela était le moyen le plus radical de la rejoindre, je ne pouvais pas me louper, je pris le couteau, le tendis vers ma poitrine et d'un coup sec et rapide je m'étais enfoncé la lame dans le cœur.
Pas de sang, pas de douleur, pas de réaction, à peine la lame extirper que je vue que je n'avais même pas de plaie.
D'effroi je fis tomber le couteau au sol, mes sabots tremblaient, qu'es ce qu'il m'était arrivé, pourquoi étais-je toujours en vie ?
D'un mouvement lent je me suis tourné vers le miroir et je vis un être sombre munie d'ailes, mais qu'étais-je devenu ?!
Puis cette voix résonna dans ma tête et me dit : "Sache que tu as été choisi pour accomplir de grandes choses, comme tu as pu le constaté tu ne peux pas rejoindre le monde des défunts, sais-tu pourquoi ? Parce que ta destiné et de guidé les mourants jusqu'aux portes de la mort, tu es celui qui les libéreras de leurs souffrance et qui les apaiseras, tu as été choisi pour êtres incarner l'apaisement des âmes."
Bouche bée de la nouvelle que je venais d'apprendre, cette phrase résonnais dans ma tête : "Pourquoi moi ?! Qu'ai-je fais pour mérité ça ?! Je ne pourrais plus jamais revoir Blanche ?!"
"Maintenant accompli ce pourquoi tu as été choisi, va et apaisent les âmes qui demande le repos."
"Vous m'avez tous pris ! Et maintenant je dois vous obéir ! Trouvez-vous un autre pantin !"
"Sache que tu n'es pas un "pantin", tu as été choisi, libre à toi de suivre ta destiné ou non mais sache que trop souffres et que tu peux leurs apportés la paix, tu ne les tues pas, tu les soulages d'une souffrance inutile,que tu sois là ou pas ils mourront, puis sache que ta Blanche devais mourir car il en était ainsi, cela était écrit, ne me blâme pas je ne suis la que pour te renseigner.
-Je vais tout de même te résumé tous ce que tu dois savoir:
-Cette marque sur ton flanc est la marque de ta destiné, elle ne te rend plus mortel et elle te confie aussi la capacité de te cacher aux yeux des vivants.
- Les mourants qui son condamnés à mourir on besoin de toi afin de traverser dans l'autre monde sans aucune peines et comme tu l'auras remarqué la faux que je t'ai confié ne découpe que les liens de la vie.
- Lorsque tu seras appelé à cherché un mourant une lueur s’illuminera dans les cieux seul toi pourra la voir, une fois sur place tu entendras le cœur de l'être qui ne tarderas pas à mourir, reste au près de lui et attend qu'il soit près.
-Sache qu'il n'est pas à toi de décider si un être doit vivre ou mourir, mais tu t'en rendras compte en temps voulue.
-Quant à ces ailes t'on été donner pour que tu n'arrive pas trop tard lorsqu' ils t'appelleront.
-Voila je crois que je t'ai tout dit, maintenant à toi de choisir, soit tu aides ce qui en on besoin en accomplissant ce pour quoi l'on ta choisi, soit tu peux ignorer tous cela mais nous ne pouvons pas reprendre ce que l'on ta donner, tu le garderas malgré toi et ce pour l'éternité."
Ensuite cette voix s'estompa.
Le drame que je venais de vivre ne me laissais nul choix...
J'avais perdu ma seul raison de vivre et l'on m'a donné un fardeau par dessus le marché.
J'avais donc décidé de suivre cette voie que l'on m'avait imposée, n'ayant plus rien à perdre c’était sois sa, sois la cuite éternelle pour noyer ce que je ne pourrais pas oublier...

Effectivement depuis ce moment j'avais un boulot de monstre avec une apparence de monstre mais mes sentiments restais présent, malgré les horreurs que j'avais vécu je ne voulais pas perdre ce pour quoi elle m'aimait.

Mon funeste périple venait à peine de commencé que je fus appelé à chercher ma prochaine cible.
Je traversais les vallées et les contrées avec mes ailes comme si j'avais toujours su volé, me dirigeant vers la lueur quand j’aperçus un poulain jouant près d'une rivière, quand j'entendis son cœur résonner comme un gong une expression d'effroi se dessina sur mon visage, il était si jeune, pourquoi ?
Je le suivi pendant deux jours, le voyant s'amuser et rire, puis en le regardant jouer près de la rivière je l'avais vue glisser et tomber dans l'eau, je vis à ses mouvements de panique il était probable qu'il ne savait pas nager, mon réflexe a été d'essayer de lui porter secours mais quand j'essayais de l'attraper je le traversais comme si je n'étais qu'un fantôme, j'étais en train de voir un poulain en train de ce noyer juste devant moi sans pouvoir rien faire.
Après un moment je ne le vis plus se débattre à la surface de l'eau, il était en train de ce noyer et personne ne pouvais l'aidé, afin de lui éviter les tortures de la noyade je décidais de l'apaiser.
Le corps de se petit fut retrouvé quelque heures plus tard, je n'avais pas supporté le fait de n'avoir pas pu le sauvé, rempli de culpabilité la moindre des choses était d'assisté à ses funérailles...
Je n'étais même pas remis de la mort de Blanche que j'assistais déjà aux funérailles d'une vie qui venait de s'éteindre bien trop tôt...

Et je vaquais comme cela pendant plus d'un millier d'année, à chaque fois, à chaque mort, j'assistais à leurs funérailles, c'était pour moi un moyen d'essayer de me faire pardonné de ne pas avoir pu leurs accordé plus de temps.
Le temps passait et cette douleur s'amplifiait, même si je l'avais enterré au fond de moi mais je savais qu'elle était encore là.
Afin de me divertir je décidais de choisir un nouveau née à sa naissance et je le suivais de sa vie jusqu'à sa mort, comme si il était l'enfant que Blanche et moi aurions pu avoir.
Je partageais ses souffrances, ses peines, ses tristesses mais aussi sa joie et sa passion.
Et le jour où son heure était venu, je le libérais avec rancœur.

Comme à mon habitude je choisissais une âme pure et innocente venant de naître pour la suivre du début jusqu'à la fin.
C'était un poulain avec une fourrure brune, une crinière noir et de magnifiques yeux bleus nacrés, ses parents l'avaient appelé Gaudium Smile son visage exprimait la joie, il souriait tout le temps, sa joie de vivre m'emplissait de bonheur.
Je le vis grandir, je l'accompagnais à l'école, je le regardais s'amuser, rire et profité de la vie.
Parfois lors de ses contrôles je lui soufflais les réponses au coin de l'oreille et lui les écrivaient sans même se rendre compte que je l'aidais.
Plus il grandissait, plus il souriait à la vie, je l'enviais, lui n'a pas encore connue le malheur et il ne le connaîtra probablement jamais, tant mieux pour lui car c'est la chose que je lui souhaitais, vivre heureux et prospère.
Un beau jour, quand il se promenait en ville, nous avions vues des loubards qui harcelaient une jeune pégase dans une rue étroite, d'un élan de courage il s'élançât pour la secourir, il chassa les racailles et secourut la pégase en détresse, je souriais de fierté de voir mon poulain accomplir cet acte plus qu'héroïque, il se fit plus qu'une amie se jour la , cela me faisait aussi sourire car paradoxalement à l'époque il m'était arrivé la même chose sauf que j'étais la "licorne en détresse".
Le lendemain je l'accompagnais à son premier rendez-vous amoureux, il devait rejoindre sa promise à un parc non loin, sur le trajet je remarquais que l'on était suivie.
Dans une ruelle un des loubars de la dernière fois nous bloquais le passage, tandis que deux autres nous bloquais à l'arrière, ils s'attrapèrent mon poulain et le passait à tabac, je regardais cet épouvantable spectacle et cela sans pouvoir intervenir, suite à toute cette violence, les loubards partir en ricanant.
Je vis mon poulain écroulé sur le sol, il gisait dans une mare de sang, à ce moment là j'entendis son cœur battre...
Malgré toutes ses années à venir chercher les mourants je ne pouvais pas pardonner à ses ordures d'avoir réduis une âme aussi pure à l'état de défunt, il n'était pas sensé mourir de la sorte, une colère monstrueuse m'avais envahi ce jour là, après avoir apaisé celui que je considérais comme un fils.
Je voulu tellement la mort de ses ordures que je m'efforçais d'essayer de les tuer avec ma faux mais sans succès.
Je ne pouvais peut être pas les éliminer moi même, mais un jour ou l'autre ils devraient faire face à moi.
Les yeux remplis de haine je ne pu oublier les visages de ces trois meurtriers.
Mon poulain fut trouvé par sa petite amie, je la vis pleurer toutes les larmes de son corps en appelant à l'aide.
Comme à mon habitude, j'étais présent aux funérailles de mon poulain, mais une colère terrible était tapie au fond de moi.
Une enquête fut menée pour trouver ses assassins, mais les autorités ne trouvère rien pour définir une piste potable, ils avaient donc fait des affiches d'appel à témoin sur le meurtre du jeune Gaudium.
Je connaissais les coupables, j'avais préalablement suivie chacun d'entre eux afin de connaitre leurs quotidiens et savoir où les trouvés.
Quand les affiches furent posées, trois assassins commencèrent à paniquer, ils s'étaient concertés pour quitter la ville.
Le soir précédent cette réunion de criminelles, je m'étais rendu compte que l'un d'entre eux semblait êtres mal à l'aise, angoissé, pris d'un grand remords d'avoir assassiné un autre poney, cela était probablement un accident à la base car pendant qu'il dinait je l'entendais dire qu'il n'avait jamais voulu tué se pauvre innocent et que tous ça été la fautes de ses amis, qu'il savait qu'ils n'étaient pas fréquentable.
Pendant qu'il essayait désespérément de s'endormir je lui chuchotais au coin de l'oreille qu'il n'était qu'un meurtrier à même titre que ses amis et que sa seul chance d'en finir avec ça serait d'aller se dénoncé lui et ses amis.
Je lui répétais cela constamment pour l'empêcher de dormir, jusqu'au moment où je le vis ce lever et sortir de chez lui pour se rendre au poste de garde.
Là-bas il avoua le meurtre et dénonça ses complices.
Je suivis les gardes jusqu'a la maison de l'un des assassins, mais quand celui ci entendit la garde frapper à sa porte il sauta par sa fenêtre arrière et se fit poursuivre jusqu'a une zone de travaux non achevé, bien trop occuper à regardé derrière lui il ne vit pas qu'il se jetait dans un précipice creuser avec un tas de barres verticales planté au fond, il glissa et s'empala sur l'un d'entre eux en pleine poitrine.
Je le vis agonisé devant moi, j'entendais son cœur battre, mais la seul chose que je fis était de l'abandonner à sa souffrance avant l'inévitable.
J'avais pris de l'avance sur la garde en me rendant vers le domicile du second assassin, mais en arrivant je vis qu'il était déjà parti, ses affaires étaient éparpillés, il était surement parti précipitamment.
Après plusieurs heures à survoler les environs je ne le trouvais pas, qu'importe je m'étais dit que te toute façon maintenant que la garde connaissait qui il était, il ne pourrait vivre que dans la crainte, terrer comme un nuisible, mais peu m'importait de toute façon je serais toujours là au bout du chemin.
J'avais passé une semaine entière à essayer de trouver un moyen de venger une mort, mais au final à quoi bon...
De toute façon tout cela ne pouvait que me mener à une souffrance inutile, j'avais donc décidé de faire une longue pause et pour cela je devais trouver un endroit où je pourrais emménager.
Je décidais de m’exilé là où les vivants ne pourraient m'atteindre mais d'où je pourrais les observés.
J'avais trouvé une montagne munie d'une grotte profonde au sommet, je décidais de m'y installer.
Au fil du temps j'étais devenu capable de me rematérialiser ou de me dématérialisé physiquement dans le monde des vivants, quel joie ça a été de pouvoir reboire du cidre et de sentir le vent dans mon visage, néanmoins j'avais pris conscience du rôle que je devais jouer, même si je le pouvais je ne sauvais jamais personne, car il n'était pas de mon rôle de choisir qui doit vivre ou mourir.
Néanmoins j'étais parti faire une chose que j'aurais du faire depuis longtemps, honoré la tombe de Blanche de ma présence, je passais au moins une fois par an parfois je m'assaillais à coté de sa tombe en buvant du cidre et je lui racontais les merveilleux paysages que j'avais eu l'occasion d'explorer, les cultures et les personnes merveilleuses que j'avais pu suivre.
Pendant un millier d'années je regardais les vivants ici bas, depuis un village avait été construit un peu plus loin dans la vallée, je n'avais plus qu'à espérer qu'il ne s'aventure pas trop loin dans la montagne, j'avais pris l'habitude de rester au calme au fond de ma grotte et pour le peu qui s'y son aventurer avais pris leurs sabots à leurs coup.

Voila maintenant vous savez tout, mais je tiens à insisté sur le village dans la vallée et il y a une raison.
Dans ce village une jeune ponette d'une gentillesse y vit, elle peut ce montrer parfois colérique mais en réalité elle a le cœur sur la main, je l'admire jour et nuit, plus je la regarde plus et je me dis qu'elle est la réincarnation de ma regrettée Blanche.
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