
Ma petite Rarity
J’avais de l’ambition autrefois. Des rêves plein la tête et la tête dans les étoiles comme le disait ma grand-mère. Si j’avais vécu dans un monde parfait mon destin aurait était conforme à mes illusions d’enfant. Mais bon comme tout le monde le sait le monde est impitoyable et absolument pas fait pour les faibles. Je pris conscience de cela en grandissant et vivant diverse expériences comme tout le monde du fait que j’étais privé du guide stratégique de la vie pour les nuls : tips&cheats ultimate édition. Par peur de l’échec je ne me suis jamais donné à fond dans quoique ce soit, une décision aussi sensé que stupide je crois. Il faut dire aussi que à la base je n’étais pas si mal parti. J’étais né dans une famille de la classe moyenne dans une métropole en développement dans un pays riche. J’avais des parents aimant et quelques amis sensationnels. De plus on ne s’était pas foutu de ma gueule a la livraison car sans être un beau gosse de classe mannequin je m’en sortais plutôt pas mal avec les femmes et je n’avais aucun soucis avec mon reflet le matin. Mon seul et grand problème était le destin qui m’attendait et moi qui ne savait pas par où commencer. J’étais comme beaucoup de jeune de ma génération un grand fan de jeux vidéo ; à tel point que mon plus grand désir étant enfant était dans créer moi aussi un jour. Le problème fut d’ordre scolaire quand je me suis rendu compte que je n’étais pas un scientifique je me suis sentis l’âme d’un artiste. Mais sans le talent qui va avec on ne va pas très loin. Nul en dessins comme en peinture. A partir de là ils ne me rester plus qu’à m’assoir devant mon ordinateur et écrire. L’inspiration mis son temps à venir mais je parvins à écrire quelques nouvelles. Les premières furent des échecs mais la cinquième fut repéré par un journaliste qui me proposa de la publié. Mon style lui plaisait car il était d’un réalisme viscéral et fantastique selon ces termes. J’entrepris donc un cursus de lettre moderne à la fac. J’étais l’homme de lettre de la famille. Un jour ma copine de l’époque me présentât un de ces oncles éditeur et lui proposa de lire une de mes nouvelles. L’homme sembla manifester un intérêt sincère a mon travail. Le fait que je rompis avec la dites jeune femme qui me servait de compagne paralysa quelques peu les éventuelles retombé de cette rencontre pourtant je fus contacté par une autre éditrice la semaine suivante seulement je n’y croyais plus. Je détester chacune des histoires que j’écrivais et les considéré avec autant de mépris qu’un père indigne. Aucune d’elles ne me plaisais, je détester mon travail et je me détester moi-même. Je ne me croyais pas capable de devenir auteur considèrent mon style comme un handicap. Je continuer d’écrire car je ne savais rien faire d’autres et que les gens sembler apprécier mes déchets. Je finis par signer avec l’éditrice. Il y eut une sortis en librairie quelques interview sur des chaine d’info local. Je faisais ce qui me sembler le plus juste sans aucune passion. La flamme qui animé l’enfant que j’étais avait était soufflé par la brise des ans.
J’écrivais sur commande des nouvelles que j’abhorré plus que mes premiers torchons. Je me dessécher tel une madeleine rester trop longtemps au soleil. Mon travail finit par s’en ressentir à tel point que mon éditrice m’ordonna de prendre des vacances en famille tant j’étais fatigué. Mes parents me conseillère d’aller voir un médecin tant j’avais perdu du poids, le médecin me conseilla de voir un psy tant je semblé déprimer et le psy me conseilla d’avaler des cachets. Là où il voyait tous une dépression je ne voyais que l’aboutissement d’un vide créatif du a une vie trop rangé. En vingt-trois ans rien ne me m’avait jamais semblé important, je n’avais rien trouvé de précieux. Mes rêves me sembler vide et mon ambition vaine. Je n’avais aucune bataille ou grande cause à défendre rien qui ne vaille la peine de vivre une vie. Durant cet période je me rendait souvent au port pour regarder les bateaux partir à l’horizon en griffonnant une histoire sur un jeune homme partis à l’aventure en quête d’un nouveau monde qui lui apporterais ce qui lui manqué temps dans son quotidien. Je marcher des journées entière à travers la métropole comme une souris piéger dans un immense labyrinthe et je passé des nuit entière face à mon écran et cette page de pixel blanc. Un matin en sortant du café en bas de mon appartement je vis une jeune femme enfourché une moto sans son casque. Une grosse cylindrée américaine du genre choppé. Je pris alors une décision stupide. Je suis allé chez le concessionnaire le plus proche et j’ai acheté une moto avec tout l’argent que je mettais de cotés pour une raison quelconque. Je n’avais pas le permis moto mais cela importais peu. J’avais acheté un bon gros roadster qui aurait fait plaisir à mon ami fan de métal. La prise en main de mon nouveau véhicule fut immédiate, et les sensations aussi. Je pris au plus vite l’autoroute pour quitter la ville. Les voitures défilé à une vitesse folles et la poussé du vent me donna l’impression de voler. Cet engin avait était conçus pour moi, il était les ailes qui permettais enfin de fuir mon monde trop familier et d’aller trouver le nouveau.
Je me réveillais péniblement au bout de ma sieste en pleine campagne, j’avais roulé toute la matinée sans m’arrêter, je n’avais aucune idée de ou je pouvais être et je m’en moquer éperdument. J’étais sous un arbre en dans une clairière ou j’avais atterris après avoir suivi un sentier mal dessiner a la sortie d’une route de campagne. Loin de chez moi en cette magnifique journée je me permis de faire un long point sur ma situation, ma vie et ce genre de chose que l’on retourne dans sa cervelle quand on est seul. La raison de mon spleen grandissant depuis années était simple, ma vie était insignifiante comme toutes les autre et je ne prenais aucun plaisir à la vivre. Il me manquer ce frissons que l’âge adulte m’avait pris. Il me manquer l’adrénaline et cette chose qui me permettait de m’évader devenait de plus en plus dur à saisir. Je devais retrouver le gout de la découverte et de la création. Malheureusement je ne savais pas comment m’y prendre. La balade à moto n’était pas une solution même si elle m’avait fait beaucoup de bien. Me trouver une nouvelle copine n’aurait avancé a rien dans l’état ou j’étais. Me disant que je ne trouverais surement pas réponse toute faite je ressortis mon calepin et mon paquet de cigarette. Je reprenais les aventures de mon jeune marin en espérant que lui puisse m’apporter une réponse. Ainsi assis contre le chêne je passais l’après-midi. Quand je refermais mon carnet je n’étais guère plus avancé. En désespoirs de cause je lancé un murmure de prière à tous les dieux :
« -Donné moi ce qu’il me manque… »
J’attendis quelques secondes à l’affut d’un signe quelconque sans y croire. Il me fallut cinq minute avant de baissé les bras et me résoudre à prendre la route. Pourtant au moment de me lever je sentis une légère pression sur mon coude. Le même genre que quand un chien veut attirer votre attention mais en beaucoup plus léger. Je levais alors le coude pour découvrir une petite créature blanche avec d’énormes yeux bleus saphir et une crinière violette. La chose devait à peine faire plus de vingt centimètre et me regarder en gazouillant l’aire joyeuse. Elle avait de petites oreilles pointues et une corne sur son front au bout de ces petites pattes elle avait des sabots duveteux de la même couleur que de sa robe immaculé. Et comme si la créature n’était pas suffisamment absurde elle porter une couche.
Plus intrigué qu’autre chose j’approcher ma mains de la chose lentement elle l’a senti et la lécha comme une sucette avant de saisir un de mes doigt et l’avait dans sa petite de bouche et de le sucer comme l’aurait fait un bébé. Fasciner par ma découverte je saisi la petite créature et m’aperçus qu’elle avait une queue du même violet, comme pour un bébé je fis un berceau avec mes et la portait comme un nouveau-né. La petite créature me souris. Et chose étrange, je lui rendis.
« -Mais qu’est-ce que tu es ? T’es un adorable extraterrestre charger de conquérir ma planète ? Nan, les extraterrestres ne sont pas aussi mignons. Tu ressembles à un petit poney difforme ou plutôt une petite licorne. Et tu es toute douce en plus. »
C’est à ce moment-là que tout se mit en place. C’était écrit à l’évidence. Cette créature aussi étrange qu’elle soit ne m’avait pas effrayé et je ne l’avais pas effrayé non plus. Nous étions destinés à nous rencontrer ce jour-là et cet instant mièvre je ne l’oublierais jamais. Moi roucoulant sur la créature la plus adorable des univers qui aller devenir bien plus que tout ce que je ne pouvais l’imaginer.
J’avais de l’ambition autrefois. Des rêves plein la tête et la tête dans les étoiles comme le disait ma grand-mère. Si j’avais vécu dans un monde parfait mon destin aurait était conforme à mes illusions d’enfant. Mais bon comme tout le monde le sait le monde est impitoyable et absolument pas fait pour les faibles. Je pris conscience de cela en grandissant et vivant diverse expériences comme tout le monde du fait que j’étais privé du guide stratégique de la vie pour les nuls : tips&cheats ultimate édition. Par peur de l’échec je ne me suis jamais donné à fond dans quoique ce soit, une décision aussi sensé que stupide je crois. Il faut dire aussi que à la base je n’étais pas si mal parti. J’étais né dans une famille de la classe moyenne dans une métropole en développement dans un pays riche. J’avais des parents aimant et quelques amis sensationnels. De plus on ne s’était pas foutu de ma gueule a la livraison car sans être un beau gosse de classe mannequin je m’en sortais plutôt pas mal avec les femmes et je n’avais aucun soucis avec mon reflet le matin. Mon seul et grand problème était le destin qui m’attendait et moi qui ne savait pas par où commencer. J’étais comme beaucoup de jeune de ma génération un grand fan de jeux vidéo ; à tel point que mon plus grand désir étant enfant était dans créer moi aussi un jour. Le problème fut d’ordre scolaire quand je me suis rendu compte que je n’étais pas un scientifique je me suis sentis l’âme d’un artiste. Mais sans le talent qui va avec on ne va pas très loin. Nul en dessins comme en peinture. A partir de là ils ne me rester plus qu’à m’assoir devant mon ordinateur et écrire. L’inspiration mis son temps à venir mais je parvins à écrire quelques nouvelles. Les premières furent des échecs mais la cinquième fut repéré par un journaliste qui me proposa de la publié. Mon style lui plaisait car il était d’un réalisme viscéral et fantastique selon ces termes. J’entrepris donc un cursus de lettre moderne à la fac. J’étais l’homme de lettre de la famille. Un jour ma copine de l’époque me présentât un de ces oncles éditeur et lui proposa de lire une de mes nouvelles. L’homme sembla manifester un intérêt sincère a mon travail. Le fait que je rompis avec la dites jeune femme qui me servait de compagne paralysa quelques peu les éventuelles retombé de cette rencontre pourtant je fus contacté par une autre éditrice la semaine suivante seulement je n’y croyais plus. Je détester chacune des histoires que j’écrivais et les considéré avec autant de mépris qu’un père indigne. Aucune d’elles ne me plaisais, je détester mon travail et je me détester moi-même. Je ne me croyais pas capable de devenir auteur considèrent mon style comme un handicap. Je continuer d’écrire car je ne savais rien faire d’autres et que les gens sembler apprécier mes déchets. Je finis par signer avec l’éditrice. Il y eut une sortis en librairie quelques interview sur des chaine d’info local. Je faisais ce qui me sembler le plus juste sans aucune passion. La flamme qui animé l’enfant que j’étais avait était soufflé par la brise des ans.
J’écrivais sur commande des nouvelles que j’abhorré plus que mes premiers torchons. Je me dessécher tel une madeleine rester trop longtemps au soleil. Mon travail finit par s’en ressentir à tel point que mon éditrice m’ordonna de prendre des vacances en famille tant j’étais fatigué. Mes parents me conseillère d’aller voir un médecin tant j’avais perdu du poids, le médecin me conseilla de voir un psy tant je semblé déprimer et le psy me conseilla d’avaler des cachets. Là où il voyait tous une dépression je ne voyais que l’aboutissement d’un vide créatif du a une vie trop rangé. En vingt-trois ans rien ne me m’avait jamais semblé important, je n’avais rien trouvé de précieux. Mes rêves me sembler vide et mon ambition vaine. Je n’avais aucune bataille ou grande cause à défendre rien qui ne vaille la peine de vivre une vie. Durant cet période je me rendait souvent au port pour regarder les bateaux partir à l’horizon en griffonnant une histoire sur un jeune homme partis à l’aventure en quête d’un nouveau monde qui lui apporterais ce qui lui manqué temps dans son quotidien. Je marcher des journées entière à travers la métropole comme une souris piéger dans un immense labyrinthe et je passé des nuit entière face à mon écran et cette page de pixel blanc. Un matin en sortant du café en bas de mon appartement je vis une jeune femme enfourché une moto sans son casque. Une grosse cylindrée américaine du genre choppé. Je pris alors une décision stupide. Je suis allé chez le concessionnaire le plus proche et j’ai acheté une moto avec tout l’argent que je mettais de cotés pour une raison quelconque. Je n’avais pas le permis moto mais cela importais peu. J’avais acheté un bon gros roadster qui aurait fait plaisir à mon ami fan de métal. La prise en main de mon nouveau véhicule fut immédiate, et les sensations aussi. Je pris au plus vite l’autoroute pour quitter la ville. Les voitures défilé à une vitesse folles et la poussé du vent me donna l’impression de voler. Cet engin avait était conçus pour moi, il était les ailes qui permettais enfin de fuir mon monde trop familier et d’aller trouver le nouveau.
Je me réveillais péniblement au bout de ma sieste en pleine campagne, j’avais roulé toute la matinée sans m’arrêter, je n’avais aucune idée de ou je pouvais être et je m’en moquer éperdument. J’étais sous un arbre en dans une clairière ou j’avais atterris après avoir suivi un sentier mal dessiner a la sortie d’une route de campagne. Loin de chez moi en cette magnifique journée je me permis de faire un long point sur ma situation, ma vie et ce genre de chose que l’on retourne dans sa cervelle quand on est seul. La raison de mon spleen grandissant depuis années était simple, ma vie était insignifiante comme toutes les autre et je ne prenais aucun plaisir à la vivre. Il me manquer ce frissons que l’âge adulte m’avait pris. Il me manquer l’adrénaline et cette chose qui me permettait de m’évader devenait de plus en plus dur à saisir. Je devais retrouver le gout de la découverte et de la création. Malheureusement je ne savais pas comment m’y prendre. La balade à moto n’était pas une solution même si elle m’avait fait beaucoup de bien. Me trouver une nouvelle copine n’aurait avancé a rien dans l’état ou j’étais. Me disant que je ne trouverais surement pas réponse toute faite je ressortis mon calepin et mon paquet de cigarette. Je reprenais les aventures de mon jeune marin en espérant que lui puisse m’apporter une réponse. Ainsi assis contre le chêne je passais l’après-midi. Quand je refermais mon carnet je n’étais guère plus avancé. En désespoirs de cause je lancé un murmure de prière à tous les dieux :
« -Donné moi ce qu’il me manque… »
J’attendis quelques secondes à l’affut d’un signe quelconque sans y croire. Il me fallut cinq minute avant de baissé les bras et me résoudre à prendre la route. Pourtant au moment de me lever je sentis une légère pression sur mon coude. Le même genre que quand un chien veut attirer votre attention mais en beaucoup plus léger. Je levais alors le coude pour découvrir une petite créature blanche avec d’énormes yeux bleus saphir et une crinière violette. La chose devait à peine faire plus de vingt centimètre et me regarder en gazouillant l’aire joyeuse. Elle avait de petites oreilles pointues et une corne sur son front au bout de ces petites pattes elle avait des sabots duveteux de la même couleur que de sa robe immaculé. Et comme si la créature n’était pas suffisamment absurde elle porter une couche.
Plus intrigué qu’autre chose j’approcher ma mains de la chose lentement elle l’a senti et la lécha comme une sucette avant de saisir un de mes doigt et l’avait dans sa petite de bouche et de le sucer comme l’aurait fait un bébé. Fasciner par ma découverte je saisi la petite créature et m’aperçus qu’elle avait une queue du même violet, comme pour un bébé je fis un berceau avec mes et la portait comme un nouveau-né. La petite créature me souris. Et chose étrange, je lui rendis.
« -Mais qu’est-ce que tu es ? T’es un adorable extraterrestre charger de conquérir ma planète ? Nan, les extraterrestres ne sont pas aussi mignons. Tu ressembles à un petit poney difforme ou plutôt une petite licorne. Et tu es toute douce en plus. »
C’est à ce moment-là que tout se mit en place. C’était écrit à l’évidence. Cette créature aussi étrange qu’elle soit ne m’avait pas effrayé et je ne l’avais pas effrayé non plus. Nous étions destinés à nous rencontrer ce jour-là et cet instant mièvre je ne l’oublierais jamais. Moi roucoulant sur la créature la plus adorable des univers qui aller devenir bien plus que tout ce que je ne pouvais l’imaginer.